La tête est réalisée dans un endroit sec, au garage, mais pour le corps du canard, sur la remorque, c’est à l’extérieur qu’il faut travailler puis tout protéger sous une bâche. C’est le travail des hommes : Denis, Jean-Claude, autour de Louis et Michel, découpent, percent, vissent, clouent, chacun apporte de chez soi des poutres, bois et tiges filetées. De poutres en planches, la tête du côté du timon, le canard prend forme.
C’est le moment des finitions. Un canard, tout le monde le sait, c’est jaune. Une nouvelle équipe prend le relais. Françoise, Colette et une autre Françoise et quelques enfants, armés de pinceaux, par un temps ensoleillé, et beaucoup de vent (voir l’arbre qui plie sous les bourrasques, photo 2). Parfois la peinture s’échappée du pinceau pour finir sur le mur de la maison.
Le canard est prêt pour le jour J.