René Ladet

LADET, René

ILS ONT REFUSÉ DE SUBIR

La Résistance en Drôme

(Mémoires d’un Corps Franc et d’une Compagnie F.F.I.)

Portes-lès-Valence « ZONE ROUGE » 1942-1944

Autoédition 1987

Réédition 2008, imprimerie Le Crestois

Le lieutenant René LADET avait fait du Vercors, une base de repli pour ses hommes après les coups de mains. Il faisait des échanges de nourriture avec la Communauté de Travail et c’est grâce à l’intervention de Marcel MERMOZ et des compagnons qu’il put être hospitalisé après l’explosion d’un sac de gammons

Ce témoignage, sans prétention, est une œuvre personnelle.
J'espère qu'il n'aura pas laissé indifférents ceux qui participèrent à la Résistance ou la vécurent, ceux qui sont intéressés par notre
Histoire.
Je souhaite aussi que les jeunes lisent ce récit souvenirs, afin qu’ils découvrent et comprennent comment et pourquoi d’autres jeunes sont devenus des Résistants ; pourquoi des femmes et des hommes ont fait le sacrifice de leur vie, pour qu'ils soient aujourd'hui LIBRES.
                                                                                René LADET
Après sa cessation d'activité en 1978, à l’âge de 56 ans (pour raison de santé), l’idée de mettre par écrit les souvenirs de ses actions pendant la Résistance prit forme dans l'esprit de René LADET, notre père. Il y fut encouragé par son entourage, conscient, pour en avoir entendu le récit maintes et maintes fois, de la valeur historique d'un tel témoignage.
Le résultat a dépassé nos espérances, car de 1980 à 1987, date de la sortie du livre, il a poursuivi, avec la ténacité et la rigueur qui étaient les siennes, des recherches qui, en 1983, ont abouti à la fondation conjointe avec Michel Planas de la Fédération des Unités Combattantes de la Résistance et des F.F.I. de la Drôme.
Enfin, nous souhaitons que par le biais de ce livre, sa mémoire reste dans les esprits avec autant de fidélité qu'il en manifestait à ses camarades tombés au combat.
                                                                       MNL-B et ML

Préface
Introduction
Appel du 18 juin 1940
Extraits
Quatre exemples pour l’Histoire
Mon village
Portes-lès-Valence dans la guerre
Mission des cheminots portoís
L’armistice et ses conséquences - Perte de la Liberté
La Liberté
Premières réactions Les effets de la Révolution Nationale
Conseil Municipal de Portes-lès-Valence (1935-1941)
La Milice
Problèmes des jeunes Portois
Mon séjour dans la Marine - Le Maroc - À bord du Primauguet
Un embarquement - Toulon - Le sabordage
Les Allemands dans mon village - L’organisation de la Résistance
La Résistance - Ses origines - La lutte s’organise à Portes
 
Premier sabotage officiel du Groupe
Une tentative de sabotage inédite…!
Les actions du Groupe - Mise au point - Action non réalisée
Le STO. - Réfractaire au STO
Chauffeur de locomotives
Premier sabotage par explosifs - Un sabotage psychologique
Franc-Tireur et Partisan - Enfin deux armes de guerre
Un Portois dans la LVF
 
Le Groupe va intensifier ses actions
Les restrictions - Le 1 4 juillet 1943
Enfin du matériel de sabotage - Essais du plastic et du 808
Action au Dépôt des Machines de Portes
Carte N ° 1 Maquis, Groupes Francs, Terrains de parachutages
Arrestation de quatre Portois et leur déportation
Enfin des crapauds - Instruction - Incident
Le Groupe - Nos contacts - Fonction des Membres du Groupe
Décembre 1943 - Quatre importants sabotages
Attaque d’un train de permissionnaires allemands
Le Pont au Km 62 7, 700
Sabotage et représailles allemandes, autres actions
Groupe Franc et Compagnie FFI. - Membres de “unité
Maurice CATY
Résistants Drômois, événements
Miliciens et Gestapo recherchent “JEANNOT”. Mutation Nîmes
Opération locomotives - Train de permissionnaires allemands
 
PHOTOS
Deux sabotages - Deux rapports de l’époque
Il faut se planquer - L’épisode de Grangeneuve
Arrestation - Évasion
Le tunnel de Valence
Un nouveau Groupe Franc à Portes-lès- Valence
Mars 1944, l'Ardèche
Le Groupe de Roger MAISONNY arrestations
Trois camarades portois tués
Correctif - Photos - Jean quitte le Groupe
Mois d’avril complet pour le Groupe - Marcel RANC
Premier bombardement de Portes-lès-Valence et de la Drôme par l’aviation alliée - Action combinée par l'OSS, Service américain
Le débarquement - 6 juin 1944 - Le Plan Vert, sabotage au Km 620
Le ravitaillement - Un sabotage et le Groupe prend le maquis
Notre Groupe devient Compagnie (Plateau de Combovin)
État-Major - Nominations - Le 2ᵉ Bataillon Centre-Drôme
Carte N ° 2 - Dispositif des Compagnies - Organisation
L’attaque surprise de Combovin - Bilan de l’attaque, nos pertes
Témoignages - Photos
La défense du plateau
Arrivée d'un renfort
Décision de l'État-Major - Des réflexions !
Dix gammons explosent - L'hôpital de Die
La République au Vercors
Le 14 juillet à Die - Un parachutage de jour à Vassieux
Un sabotage - Des représailles - 30 otages fusillés à Portes
Des bavardages dangereux - Le 8 juillet 1944
Die en juillet 1944
L’attaque générale du Vercors - Mission du 3 août 1944 (Vercors)
Carte N ° 3 - Mouvements des Compagnies
Die le 21 juillet 1944 - L'évacuation des blessés
Saillans - Espenel - Le barrage de Pontaix -Des réflexions
Extraits du journal de Raymond FOLLET, des mémoires de Roger MARTY
Notre arrivée à Romeyer (les blessés) - De bons français
Les Allemands et les miliciens à Die
L’infiltration d’un traître dans la Résistance
Le retour - Les mongols
Le cas des blessés - Des réflexions
Bombardement de la Trésorerie... Enfin
Nos Sédentaires - Leurs actions - Bombardements alliés
 
PHOTOS
Le débarquement en Provence
Carte N ° 4, dispositif des Compagnies - Guérillas
De belles actions des FEI. - P.C. du Lt-Colonel LEGRAND
La retraite allemande
Mon village libéré
Ordre d’attaque de Valence
Comité de Libération de Portes-lès- Valence
Les lendemains de la Libération
Ce qui advint de la 8eme Compagnie
Rapport du Sous-Lieutenant Dominique SANTELL1 alias BRUNO
Rapport du Sous-Lieutenant Willy CHA VE alias GEORGES
Fausses cartes d’identité, cartes d’alimentation et certificat
Département du Gard
L’attaque de la prison Centrale de Nîmes
Mise au point, des réflexions
La route du Maquis des Bouzèdes est longue
Noms des patriotes libérés le 4 février 1944
D’autres actions dans le Gard
L'Ardèche
Retour définitif à Portes - Voyage à Marseille
Le coup du Robinet le 25 février 1944
Réflexions. ..!
30 août 1944 à Portes-lès- Valence - Nos souvenirs
Le respect d’un serment !
Nos morts
 
ANNEXES
Annexe I - Ils avaient refusé de subir
Annexe II - Morts pour la France - Noms des 30 otages fusillés
FFI fusillés le 14 août - Victimes civiles de la guerre
Détails des bombardements alliés
Détails des bombardements allemands
Annexes III - UN DOCUMENT - biographie des formations de la Résistance dans le département de la Drôme
Témoignages de nos camarades - Liste
Un milicien parachuté !
Nos Chefs militaires
Annexe IV- Conclusions
Que serait-il arrivé si HITLER avait gagné la guerre !
Annexe V- La Croix de Guerre de Portes-lès-Valence
Le Chant des Partisans
Michel PLANAS
Jean ABONNENC
Roger MAISONNY
Patrick MAR TIN
Anne-Sophie LAPRA
Mehdi BENHLAL
 
Photos, rajout 2008

Voici la liste complète des membres de notre unité du 15 décembre 1942 au 4 septembre 1944. Membres, nom et prénom 8° Compagnie du 2° Bataillon FFI Centre-Drôme
GROUPE FRANC et COMPAGNIE René LADET De PORTES-LÈS-VALENCE DROME

1    AGERON Michel
2    ANSINELLI Joseph
3    AURELLE Louis
4    BAUD Jacques
5    BARD Paul
6    BEAUFRETON Alexandre
7    BEBERT
8    BERGERON Achille
9    BERGERON Jean
10    BERNARD Jean
11    BIARAT Louis
12    BLANC Camille
13    BLANC Louis
14    BLANC Madeleine
14    BLANC Suzanne
16    BOYER Francis
17    BOYER Simon
18    BRAVAIS Édouard
19    CATY Maurice
20    CHALENCON Paul
21    CHAMP Paul
22    CHANSON Guy
23    CHARLES Georges
24    CANTELLI Aimé
25    COLLUS Georges
26    CHAVE René
27    CHAVE Willy
28    DELBOUYS Maurice
29    DEMANDIER René
30    DENIS
31    DUFOUR Aimé
32    DUPRE Pierre
33    DOUZET René
34    DREVETON Octave
35    FERRIER Léonce
36    F LANDIN Auguste
37    GARDE Elie
38    GAGNOL Roger
39    GRESSE Gérard
40    JASSOUD Odette
41    JOLLAND Marcel
42    LADET Charles
43    LADET Jeannette
44    LADET René
45    LAMELOISE Alexandre
46    MARACCINI Jean
47    MEYSONNAT Jean
48    MOURIER André
49    MOURIER Marcel
50    MORIN Maurice
51    NURY Paul
52    PORTALLIER Georges
53    ROBIN Albert
54    ROURE Gaston
55    SALIER Paulette
56    SANTELLI Dominique
57    SANTELLI Paul
58    SIMERY Élisée
59    SPINOSI Jean
60    SPORTELLI Renée
61    VALLON René
62    VINCENDON Georges

Le maquis BARBU à Combovin reçoit également des armes ; il abrita pendant quelque temps un camp d’instruction, dirigé par le lieutenant GUIGOU

UN SABOTAGE et LE GROUPE PREND LE MAQUIS

8 juin à 1 h 40, sabotage des voies ferrées au Km 630.
Interruption du trafic onze heures.
8 juin 1944 à 6 heures : départ ; le Groupe rejoint son camp au pied du plateau de Combovin, dans une bergerie, depuis longtemps reconnue. Je me rends au P.C. du Commandant L'HERMINE à la ferme BELLE. Il y a là, beaucoup de monde le Capitaine JEAN (RUEFF), le Lieutenant MOURGUES alias JULIEN, MARC alias La Cloche, etc. Le Lieutenant LEGRAND est en inspection du secteur. Je donne l'effectif du Groupe, soit 43 hommes au camp, plus 22 sédentaires à Portes-Beauvallon
Nous percevons notre armement soit : une mitrailleuse légère, 4 fusils mitrailleurs BREN, des mitraillettes STEN, des fusils anglais et allemands, des grenades défensives, cinq revolvers genre COLTS, des munitions ainsi que des pansements de première urgence.
Notre ami MARC, dit La Cloche, responsable de l'armement me dit : «S'il te manque quelque chose, n'hésite pas à venir me voir». Ce MARC est un garçon formidable ; arrêté par les Allemands à Taulignan, lors d'une livraison d'armes, il est dirigé vers l'Allemagne. Il s'évade du wagon et revient rejoindre la Résistance dans la Drôme. Il a réalisé pas mal d'actions en 1943 1944, avec les FTP et l'AS ; il avait des copains partout.
Hélas, il nous a quittés, emporté par une douloureuse maladie, quelques années après la fin de la guerre.
Au camp, nous commençons l'instruction sur les armes. Les tours de garde sont organisés ainsi que des patrouilles. Je prends contact avec Marcel MERMOZ, responsable de la Communauté BARBU, replié à la ferme St Raymond, ou l'on accède par une route partant du village de Combovin, en suivant une vallée, sous le plateau Marquet MERMOZ est bien organisé, ses hommes sont armés et connaissent parfaitement le secteur. Nous faisons des échanges, saucissons-conserves, contre lait, beurre et quelques légumes.
Ayant fait une reconnaissance complète des environs du camp, je me rends compte que notre position est peu défendable, en cas d'attaque ennemie. Nous sommes adossés à la montagne, les points d'appui ne sont pas surs, nous risquons d'être surpris par une infiltration par les parties boisées ; il est préférable de tenir les hauteurs. De plus, l'avion mouchard allemand nous survole assez bas à plusieurs reprises. Par deux fois, une patrouille allemande est signalée au croisement des chemins Barcelonne - La Baume, donc près du camp.
Je prends sur moi de quitter ce camp trop vulnérable. Le 11 juin au matin, nous faisons mouvement vers le plateau de Combovin. Nous nous installons à la ferme BOISSONNIER Firmin à côté de Mourras. Le brouillard très dense enveloppe tout le plateau, ce qui ne facilite pas notre marche. MERMOZ, avec trois de ses hommes, nous donnent un coup de main ; avec un traîneau tiré par une paire de bœufs, il transporte notre ravitaillement en plusieurs voyages. Ma décision de quitter notre premier camp, au flanc de La Raye, a été critiquée dans un premier temps, puis comprise par la suite. Nous allons voir que les événements m'ont donné raison
Nous nous sommes repliés dans un maquis avec la seule intention d'avoir une base de repli, après des coups de main dans la vallée du Rhône, et également pour entraîner des groupes de sabotage, des Corps franc à la guérilla, où j'ai pas mal d'idées à réaliser. Nous sommes tout disposés à faire profiter de notre expérience, les groupes francs des unités voisines, si l'État-major y consent.
Bien entendu, nous participerons à la défense du secteur et nous obéirons aux ordres du Chef Départemental F.F.I.

J’envoie CATY avec sept hommes faire une reconnaissance sur la crête, vers Combovin. Du côté de la vallée, vers la ferme Saint-Raymond, tout parait calme. MERMOZ a dû prendre ses dispositions défensives.

Le lendemain, lorsque madame FAURE est passée, assise sur la banquette de la charrette qui transportée le cercueil de Lucien, Marcel MERMOZ tenant le cheval par la bride et marchant au pas de la bête. 

DIX GAMMONS EXPLOSENT !

Alors que nous allions prendre nos emplacements de combat, il se produit une violente explosion. Le sac de dix gammons que porte SIMERY a sauté ! Élisée SIMERY est tué sur le coup, son corps est déchiqueté par l'explosion.
Alexandre BEAUFRETON, Édouard LECAM, Léonce FERRIER sont blessés ; deux autres hommes sont plus légèrement touchés. Je suis gravement blessé, car j'étais à un mètre cinquante de SIMERY ; je lui expliquais la position qu'il devait occuper avec ses camarades. Je suis K.O. perte de l’œil droit, traumatisme crânien, tendon de la cheville droite sectionné et de très nombreux éclats aux membres inférieurs. J'ai perdu connaissance.
Les jeunes Sous-Lieutenants Gérard LEHMANN et Michel PLANAS, qui font leurs études de médecine, nous soignent et nous protègent de leur corps à chaque passage des chasseurs allemands qui nous mitraillent,
J'ai de courts instants de lucidité et je comprends que l'on est assez inquiet sur mon état. Ce pessimisme de PLANAS et de LEHMANN me trouble. J'ai le temps de passer le commandement de la Compagnie au Sous-Lieutenant Dominique SANTELLI alias Bruno, en lui demandant de poursuivre le combat jusqu'à la victoire, d'embrasser pour moi ma famille et ma fiancée ; puis à nouveau, c'est le trou noir. (Je ne reprendrai connaissance que le 1ᵉʳ juillet à l'hôpital de Die).
J'ai appris, par la suite, que l'on m'avait descendu à la ferme de St Raymond, que MERMOZ et ANSINELLI m'avaient veillé toute la nuit, que le lendemain 29 juin, la camionnette, qui avait transporté le corps d'Élisée SIMERY au cimetière de Combovin, est venue me prendre, pour me transporter, ainsi que les trois hommes blessés de ma Compagnie, à l'hôpital de Die où nous sommes arrivés le 30 juin dans la soirée, après avoir passé la nuit à l'infirmerie de l'Escoulin.
Dès notre arrivée à l'Hôpital de Die, nous avons été opérés par les docteurs RIGAL et LAIGLE, tous deux chirurgiens à la Clinique St-Joseph à Valence. Ces deux médecins ont rejoint le Maquis le 6 juin 1944. Avant cette date, ils étaient dans la Résistance et soignaient nos blessés à la Clinique St-Joseph ou ils les camouflaient.
Je tiens à souligner le courage et le patriotisme de ces praticiens, des infirmières également, qui n'ont pas hésité à prendre des risques énormes, pour se mettre, sans restriction, au service de leurs amis de toute la Résistance.
À mon réveil, je suis d'abord très surpris de me retrouver dans un lit et surtout dans des draps blancs. Je ne sais où je suis.
La bonne figure de notre jeune ami Édouard BRAVAIS me rassure. Il était à mes côtés depuis mon arrivée. . .

Pour aller plus loin ensemble

Date de dernière mise à jour : 16/09/2024

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Commentaires

  • BRUNEL lorraine

    1 BRUNEL lorraine Le 03/06/2019

    bonjour,moi aussi je cherche des infos sur le parcours de mon père: BRUNEL Raymond, instituteur, maquis du Vercors (répertorié FFI) ,participe dans l AS 3eme bataillon,11eme cgnie avec ABONNENC ;mon père a été blesse au "Chaudron "; ma famille maternelle habitait Luc en Diois à cette époque ;je suis sa fille et souhaite moi aussi laisser la trace de son engagement pour la Liberté;
    née en septembre 44 ,on comprendra mon prénom;comment puis je procurer le livre de votre père?
    merci de vos réponses;
    monpuzzle

    monpuzzle Le 04/06/2019

    Bonjour Lorraine, c'est un beau prénom, Il y a aux archives départementales de la Drôme le fonds Abonnenc : 327 J - Fonds Abonnenc => https://archives.ladrome.fr/?id=recherche_grandpublic_detail&doc=accounts%2Fmnesys_ad26%2Fdatas%2Fir%2FArchives%20priv%C3%A9es%2FFRAD026_000959%2Exml&page_ref=57&unittitle=327 J - Fonds Abonnenc&unitid=327 J 1-909&unitdate=1934-2009 OU 11e compagnie Abonnenc-Brunel : 97 J 47-61 1944-1950 => https://archives.ladrome.fr/?id=recherche_grandpublic_detail&doc=accounts%2Fmnesys_ad26%2Fdatas%2Fir%2FArchives%20priv%C3%A9es%2FFRAD026_000443%2Exml&page_ref=1869&unittitle=11e compagnie Abonnenc-Brunel.&unitid=97 J 47-61&unitdate=1944-1950 Je ne sais pas si les liens WEB sont clairs ? Michel Chaudy
  • JOLLAND Claude

    2 JOLLAND Claude Le 02/02/2016

    je recherche des informations sur le passé de résistant de mon père JOLLAND marcel pseudo Jomard . Chose très difficiles vue le nombre de compagnie et les mutations constante d'un lieu à l'autre.
    je vais me procurer ce livre car il m'à l'air plein de renseignements qui vont me permettre d'avancer dans mes recherche.
    monpuzzle

    monpuzzle Le 02/02/2016

    Bonjour, J'espère que vous trouverez dans ce livre quelques informations sur le parcours de votre père, et c'est bien le but de ce site : partager. Suite à la lecture du livre, pouvez-vous faire profiter les autres chercheurs de vos découvertes ? C'est l'objectif que je me fixe et je vous invite à y participer, merci Michel Chaudy

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